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page 452 (I) C'était Peyrusse, en Rouergue, et noin Peyrusse. près d'Allanche. |
page 453 (1) Voir pour la famille de Tourtoulou une note reetificativeinsérée dans l'article St-Simond. p. 352 (2) Il a existé en Rouergue. dès le XIIe siècle, une famille du ménre nom, originaire du château de Toumemlre, situé à deus lieues de Saiint-Afrique. Elle est connue par de nombreuses libéralités faites à l'abbaye de Silvanés, de 1140 à 1170. Plus tard, les possesseurs de ce château portèrent indifféremment les noms de Jourdain ou celui de Tournemire. Cette similitude de nom avait fait penser à M. de Barreau, auteur d'une publication historique sur le Rouergue, que Jean de Tournemire, qui opéra l'arrestation de Mérigot-Marchès, était de ce pays; mais sur les observations que nous lui avons présentées, il a loyalement reconnu son erreur. |
page 454 (1) Voir l'Art de vérifier lesdates. — L'Armorial des Salles des Croisades, première partie, p. 18: seconde partie, p. 40. - L'Ancienne Auvergne, t. II, p.179. — Chabrol, t. IV p, 228 |
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page 457 (I) Cette qualification était gratuite et doit être considérée comme faveur spéciale du roi; car, Jus qu"alors , Jean de Toumemire n'avait que la qualité de damoiseau. |
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page 465 (1) Guillaume du Vair appartenait à la ligue française, c'est-à-dire à ce parti d'hommes recommandables qui, aprés s'être laissés égarer quelque temps au service de la rèvolulloo de 1588 et de l'intérêt lorrain, reconnurent noblement leur erreur, et se rallièrent au grand parti national qui soutenait la royauté d'Henri IV. Avec Villeroi, Jeannin, Lemaitre, il fut un de ceux qui contribuèrent le plus à la restauration de Ja monarchie. Sa voix courageuse, dont l'éloquence s'éleva dans ces temps de bassesse à la hauteur des catillinaires, entraîna l'arrêt célébre du 28 juin 1594, qui ruina les espérances usurpatrices des Lorrains et des Espagnols, en déclarant énergiquement "nuis et de nuls effets tous traités faits ou à faire au préjudice de la Loi salique et outres Lois fondamentales du royaume". C'était proclamer la légitimité d'Henri IV en face de Mayenne et de Philippe ll, alors maîtres de Paris et d'une partie de la France. L'arrêt fut signifié dés le lendemain, à Mayenne. par une grande députation du parlement, ayant à sa tête le président Lemaitre. Jours héroîques de la magistrature ! H. de L. |
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