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Il est avéré que la Dordogne permet la batellerie, elle est aussi en revanche, un obstacle dès qu'il s'agit de la franchir. Successivement, un gué, des ports et des ponts ont facilité la liaison des deux rives de la rivière. Un gué existait dès le premier siècle de notre ère entre le quartier des Condamines d'un côté et la rue Saint-Etienne d'Obazine de l'Autre.
Les ports permettent soit le départ des gabares (cf. panneau 03), soit la liaison à l'aide de bacs. Ici, le ponton maçonné en pierres est l'un des points de départs de d'accostage des bacs.
En 1839 un pont suspendu est mis en service, à l'emplacement de pont actuel qui lui succède en 1892. Un siècle plus tard, le pont de la déviation le supplée 550m en aval et assure le désengorgement de la ville |